Le label flocon vert pour matérialiser l’action

Le label Flocon vert a été lancé en 2011 dans le but d’inciter les stations de ski à s’engager durablement vers un tourisme responsable. Il est issu de l’initiative de l’association Mountain Riders. Le Label éduque les opérateurs dans le secteur de ski à rendre leurs stations plus vertes. C’est une action de sensibilisation au tourisme responsable.
Pour ce faire, chaque année, les membres de l’association organisent des journées de ramassage de déchets. Parfois, ils prodiguent des formations auprès des professionnels du sport d’hiver, des vacanciers et aussi des locaux dans le but justement de préserver les montagnes.

Apporter un peu de verdure sur les stations de ski

Le label Flacon vert est désormais reconnu dans le monde du sport d’hiver. La majorité des stations de ski fait l’effort pour l’obtenir. Mais quels sont les critères pour arborer ce label ? Les stations doivent répondre à environ 20 thèmes divisés en quatre grands thèmes. De nos jours, seules huit stations ont gagné ce label. Ils sont les seuls à avoir respecté toutes les conditions.

Si votre station ne s’est pas encore lancée dans cette démarche de ski vert, sachez que les touristes privilégient désormais les destinations avec ce label. Désireux de participer à la préservation de l’environnement, le label leur incite d’éviter les hors-pistes. En effet, ces derniers sont de véritables perturbateurs de la faune sauvage surtout les jeunes arbres.

L’utilité des cuissards de compression

Les cuissards de compression amélioreraient la circulation sanguine. Ainsi, les muscles sont mieux oxygénés. En prime, le corps parvient à éliminer plus facilement les surplus d’acide lactique. Résultat, le coureur est moins fatigué (ou il ressent moins la fatigue) et il récupère rapidement (réduction du temps de récupération). Profitez, vous aussi, de ce bienfait des cuissards de compression : choisissez des modèles qui vous plaisent sur bvsport.com. Achetez et portez !

Psychologiquement, les cuissards de compression procurent une impression de force qui dope la confiance en soi et donc la performance. Vous serez en mesure de vous dépasser et de battre vos propres records.

Les bienfaits pour les muscles sont nombreux. Grâce aux cuissards de compression, vos muscles ne se mettront pas à trembler. Un tremblement ou une vibration est le signe qu’ils sont fatigués et accroît les risques de blessures. Dans le même temps, les cuissards offrent un soutien supplémentaire aux muscles et aux articulations : cela aide également à prévenir les blessures. Les cuissards régulent la température du corps puisqu’ils gardent les muscles au chaud tout en améliorant l’évacuation de la transpiration.

Après l’achat, testez votre cuissard de compression lors de courtes séances de running afin de vous habituer. Au début, vous pourrez ressentir de l’inconfort ou de la gêne. Choisissez des vêtements de compression à votre taille exacte, car une mauvaise compression risque grandement de nuire à votre endurance et à votre performance.

Les autres vêtements de compression

Les chaussettes de compression améliorent la circulation du sang dans les jambes et les pieds. Ils réduisent le gonflement des jambes et des pieds. Le coureur est moins fatigué. De plus, ces chaussettes accélèrent la récupération après une séance de running. Veillez à ce qu’elles ne soient pas trop serrées.

Les manchons de compression pour les mollets stimulent également la circulation sanguine avec les mêmes effets positifs que ceux des chaussettes. Mais en plus, ils évitent l’apparition des vibrations musculaires et donc la survenance de blessures. Ils garantissent également un bon soutien musculaire. En conséquence, vous aurez moins de crampes. Si vous les portez après une séance de running, ils vont favoriser votre récupération.

Les collants ou leggings de compression offrent au coureur les mêmes avantages que les cuissards de compression (excellente circulation du sang ; moindre fatigue musculaire ; etc.).

Quant aux hauts de compression, ils sont destinés à soutenir le buste ou plus généralement la partie supérieure du corps. Vous avez alors une meilleure posture et surtout, vous éloignez le risque de voir se produire les dangereuses vibrations musculaires.

Il existe aussi les manchons de compression pour les bras. Ils gardent au chaud et soutiennent les muscles du bras. Vos bras sont moins fatigués, la circulation du sang y est excellente et, en prime, vous avez droit à une meilleure évacuation de la sueur.

L’évolution de l’escrime

Au début, l’escrime était un art de combat pratiqué dans des pays asiatiques, mais il est devenu un sport de combat à la fin du XIXe siècle. Son intégration par le baron de Coubertin dans les disciplines olympiques date de 1896. L’escrime moderne est un duel qui oppose deux pratiquants. Le combat nécessite le port d’équipements pour garantir leur sécurité. Les règles varient selon l’arme, car il y a trois types d’armes, l’épée, le sabre et le fleuret. On peut pratiquer ce sport à partir de cinq ans, l’escrime sollicite du sens tactique, de la rapidité, de la puissance physique, du réflexe, de l’équilibre, du fair-play, du sens de l’honneur et de la bonne humeur. L’escrime est devenue un sport de compétition internationale, la tenue d’un tireur doit être blanche et réglementaire pour garantir au maximum la sécurité des tireurs.

La France et l’escrime

L’escrime est un sport apprécié par les Français, en total, les Français ont gagné 115 médailles olympiques avec cette discipline. La fédération française a été fondée en 1906 par Émile Bruneau de Laborie. C’est encore à Paris que la fédération internationale de l’escrime a vu le jour en 1913. C’est en Espagne que l’escrime moderne commence à se développer, mais ce sont les Italiens qui ont mis de l’ordre dans les principes de l’escrime en premier. La France, l’Italie et l’Allemagne se partagent la majorité des médailles. La mondialisation de l’escrime incite d’importantes transformations des règlements, des techniques et des équipements. Il faut préciser que 149 nations font partie de la fédération internationale de l’escrime dans le monde et les adeptes sont de plus en plus nombreux.

Qu’est-ce qu’un sport de combat ?

Le sport de combat est une discipline compétitive. Cela signifie que ce type de sport est principalement destiné à forger l’esprit de compétition. La pratique d’un sport de combat se fait entre deux individus. Si l’objectif est souvent de gagner un duel, cette discipline permet surtout de se surpasser soi-même et de se poser un défi. Les sports de combat sollicitent toutes les parties du corps et intègrent les principes de base d’un sport.

Quels sont les avantages des sports de combat pour les enfants ?

Les sports de combat apportent des bienfaits tant physique que psychologique aux enfants.

En effet, il s’agit d’une discipline sportive à part entière, permettant à l’enfant de se dépenser entièrement. Outre la sollicitation des muscles, les sports de combat travaillent le cardio et apprennent aux enfants à maintenir leur souffle.

Par ailleurs, cette discipline permet de canaliser l’énergie des enfants, notamment ceux hyperactifs. Contrairement à ce que beaucoup imaginent, ce type de sport est loin d’être agressif. La pratique d’un sport de combat requiert une maîtrise de soi. Comme toute discipline, le respect des règles est strict.

Les sports de combat sont encadrés par des principes de bases pour assurer la sécurité de tous. Pour les enfants plus grands, les sports de combat instaurent une volonté de se surpasser. Cette mentalité est inculquée autant pendant le processus d’entraînement que pendant les compétitions.

Quel sport de combat choisir pour un enfant ?

Les sports de combat sont accessibles aux enfants à partir de 5 ans. Bien qu’elles soient réparties en plusieurs disciplines, le principe reste le même pour toutes les activités. Les sports de combat les plus connus sont notamment le judo, la boxe (boxe française, boxe anglaise, etc.), la lutte, l’escrime, etc. Le choix se fait ensuite en fonction du degré d’activité recherché et des préférences des parents (ou de l’enfant).

À titre d’exemple, le judo est une activité plus physique que l’escrime. En effet, le judo a pour objectif de maîtriser l’adversaire par la force musculaire, tandis que l’escrime utilise des outils. De son côté, la boxe est recommandée aux enfants ayant besoin de canaliser leur énergie. Le trop plein d’énergie est d’ailleurs utilisé pour se muscler et entretenir son rythme cardiaque. Permettant de se défouler, cette discipline permet à l’enfant d’apprendre à coordonner les mouvements, de gagner en agilité et en confiance en soi. Sachez également que les sports de combat peuvent se pratiquer simultanément avec un sport collectif.

Où débuter l’initiation au sport de combat ?

Les sports de combat se pratiquent généralement dans un club ou au sein d’une association sportive. Outre les clubs, certaines salles de sport peuvent proposer des cours pour enfant. Sachant qu’une limite d’âge est parfois imposée, il est recommandé de se renseigner préalablement. Le blog monsieurmuscle.com vous conseille cependant d’assister à quelques cours avant d’inscrire votre enfant. Par ailleurs, prenez le temps de vous informer sur la réputation du club, discuter avec le coach, etc. avant d’inscrire votre enfant. Enfin, pour faciliter les déplacements, le club ne doit pas être trop loin de votre domicile ou de l’école de votre enfant.

La démarche à suivre

En choisissant de vous muscler chez vous, vous avez la possibilité de vous entraîner à tout moment puisqu’il n’y a pas d’horaires d’ouverture ou de fermeture à respecter. Pour obtenir un meilleur résultat, vous pouvez faire appel aux services d’un coach sportif. Il aura pour devoir de vous guider pas à pas et aussi de corriger les mauvaises positions afin d’assurer un résultat optimal. L’assistance d’un coach vous force à travailler et obtenir ainsi de bons résultats. Cependant, si vous êtes persévérant, vous atteindrez facilement d’excellents résultats. En effet, avec un peu de temps et beaucoup de motivation, sans oublier une alimentation riche en protéines et en sucres lents, vous favorisez la prise de muscle et la perte de gras.

Le programme à suivre

Vous sculpter un corps de rêve ne se fait pas en un seul jour. Cela demande beaucoup de motivation et de la persévérance. Pour y arriver, entraînez-vous pendant une heure, 3 fois par semaine. Mais attention, avant de commencer vos exercices pour perdre du poids, échauffez-vous afin d’éviter de froisser vos muscles. Pas la peine de faire les 1000 m, le but est de préparer vos muscles à l’activité. Si vous travaillez avec un coach, celui-ci ciblera mieux les exercices à réaliser. Cependant, si vous travaillez en solo, commencez par des exercices assez simples comme les pompes, l’abdo et le squat. Sur musculation-bras.fr, vous pouvez trouver différents exercices faciles à faire chez soi, qui ciblent les points à travailler selon les objectifs que vous souhaitez atteindre. Pour sculpter vos abdos, répétez les mouvements du rameur. Les séances de pompe, quant à elles, vont endurcir vos pectoraux. Si vous voulez raffermir vos fessiers, répétez la montée d’escaliers. Pour les biceps, soulevez des poids. Pour éviter les exercices monotones, utilisez des accessoires comme les élastiques, les haltères et les vélos d’appartement.

En quoi consiste cette activité sportive ?

Originaire des États-Unis, son nom provient de l’expression anglaise « to tumble » qui veut dire « culbuter ». Les pratiquants de ce sport se nomment les gymnastes. Ce sport consiste à accomplir huit séries d’acrobaties successives. Cette figure se termine par un dégagement sur une espace de réception. La condition est simple, les gymnastes ne peuvent toucher que leurs mains et leurs pieds. Cependant, il faut aussi bouger aussi peu que possible les pieds et les bras. Les mouvements accomplis rendent cette discipline sportive absolument remarquable.

Les différentes figures du Tumbling

Durant la pratique de ce sport, il faut effectuer de nombreuses figures. Elles sont très différentes les unes des autres. Parmi elles, il y a :
– La rondade
– Les figurés appelés flics-flacs
– Les tempos
– Le barani
– Le salto arrière : il y a le tendu, le carpé ou le groupé
– La vrille, demi-vrille ou double vrille
—Le full in et full-out lay
– Le killer

Comment se caractérise sa piste ?

C’est important de connaître la piste où effectuer une activité sportive. Concernant le Tumbling, sa piste possède des caractéristiques très particulières. Sa longueur est de 25 mètres. Quant à sa largeur, elle est entre 1,7 et 2 mètres. Pour sa composition, elle est faite avec des rondins. Ces rondins sont en fibres de verre. En outre, ils sont placés les uns sur les autres. D’ailleurs, des mousses épaisses et une moquette recouvrent la composition. Sa particularité est son élasticité. Grâce à cette élasticité, les gymnastes peuvent sauter plus haut. Elle permet de différencier sa piste à celle de la gymnastique artistique. À propos de l’aire d’atterrissage, il a une longueur de 6 mètres sur 3 à 4 mètres de largeur. La zone d’élan mesure entre 10 à 11 mètres de long.

Quelles sont les compétences requises pour exercer ce sport ?

Pour pouvoir entamer cette activité, il faut de la puissance. Elle est la principale capacité à avoir. En effet, ce sport est très exigeant quand il s’agit d’être puissant. Dans cette puissance, il faut beaucoup de force et de la rapidité d’application. Faire de la musculation est aussi très utile. Cela permet de renforcer le centre du corps. Ce ne sont pas les seules compétences requises. Il y a la flexibilité, l’habileté, la coordination et l’équilibre. Cela aide à perfectionner l’adresse et l’exécution des mouvements.

Bien connaitre la lampe frontale rechargeable

Avant de s’acheter une lampe frontale qui va être destinée à des activités outdoor et sportives comme le trail, le triathlon ou les compétitions telles que l’UTMB, il faut connaitre ce qu’est une lampe frontale. Ce type de lampe est un accessoire d’éclairage qu’il est possible de transporter partout et qui se met au niveau de la tête, plus précisément, fixé à l’aide d’un dispositif spécifique au niveau du front. Cet emplacement permet ainsi au coureur d’être bien éclairé dans un lieu très sombre en ayant les mains libres pour pouvoir courir plus aisément.

Pour un sportif, l’idéal serait que la fixation de la lampe frontale rechargeable sur le front soit un bandeau élastique. C’est ainsi, un accessoire indispensable dès lors que la nuit tombe et qu’il commence à faire sombre. Elle permet de courir sans être pénalisé par l’obscurité. Sur le marché, ce type de lampe peut être doté de pile ou d’une batterie qu’il est possible de recharger à l’aide d’un câble USB ou même par la lumière solaire. Pour les activités outdoor comme le trail, le triathlon ou pour assurer une bonne performance durant l’UMTB, il est préférable de choisir un modèle rechargeable. Ainsi, en pleine course et durant une halte, vous n’aurez pas à aller chercher ou acheter des piles. Il suffit de connecter le câble de rechargement à un secteur électrique ou à un chargeur portable pour pouvoir recharger la batterie de la lampe frontale. Et cela, même si vous êtes en pleine forêt ou en pleine montagne sur le mont Blanc.

Quels éléments doit-on trouver sur ce type de lampe ?

Après avoir avancé l’utilité et ce qu’est une lampe frontale rechargeable, afin de bien faire votre choix, vous devez également connaitre les éléments qui composent ce type d’éclairage pour les sportifs. Tout d’abord, comme dit en amont, on aura un système d’alimentation de la lampe. Celle-ci possède une batterie rechargeable avec une connectique USB. Ensuite, il y a le circuit imprimé. Il permet d’assurer la régulation de la puissance de la lampe. Et enfin, on a des diodes électroluminescentes qui ont pour rôle de diffuser un faisceau lumineux qui permet d’éclairer le coureur. Il est également possible d’avoir des éclairages à partir de petites lampes LED.

Les autres critères indispensables pour bien faire le choix d’une lampe frontale rechargeable

Vous vous posez sûrement la question : quelle lampe frontale rechargeable devrais-je choisir ? La réponse à cette question dépendra en partie à l’utilisation que vous pensez en faire. Pour avoir une lampe frontale rechargeable bien performante et qui vous servira avec efficacité même en pleine montagne, sans risque de vous causer des accidents, il est préférable de choisir un éclairage LED. En effet, le rendement en lumière qui est diffusée par un éclairage LED est bien plus élevé. De plus, vous aurez une lampe qui ne consommera que très peu d’énergie. Votre lampe vous servira ainsi sur un long trajet et peut tenir jusqu’à votre prochaine halte. Mais là encore, il faut savoir choisir entre une lampe à LED focalisée ou non focalisée. Les modèles focalisés permettent de diffuser de larges faisceaux qui peuvent traverser une longue distance. Ils sont parfaits si vous traversez un endroit inconnu qui peut présenter des obstacles au loin.

Les modèles de lampes frontales LED non focalisées, au contraire, émettent un faisceau de courte distance. Cela permet de bien éclairer un passage qui peut être dangereux et où vous avez besoin de savoir où mettre les pieds. Ensuite, il faut voir le flux lumineux de l’éclairage. De nos jours, vous ne devez plus vous référer à la puissance exprimée en Watt de la lampe pour connaitre le niveau d’éclairage de l’accessoire. Vous devez plutôt vérifier le nombre de lumens. Plus ce denier est élevé, plus l’éclairage sera fort. Idéalement, pour les activités en plein air et durant la nuit, mais seulement pour faire de la course à pied, il est préférable d’avoir une lampe rechargeable frontale de 100 à 150 lm (lumens). Pour ceux qui font du UTMP et qui effectuent des escalades durant leur périple, il est préférable de choisir un modèle plus puissant avec 160 à 200 lm. Pour le trail et l’ultratrail, il faut une lampe à plus de 200 lm.

En s’entraînant

Comme dans les autres sports, il faut aussi de l’entraînement pour améliorer son jeu au golf. Même s’il faut maîtriser le jeu sur un vrai parcours, il est aussi intéressant de s’entraîner sur un practice. La répétition d’un mouvement ou d’une technique plusieurs fois conduit à la maîtrise. Ainsi, entraînez-vous régulièrement pour apprendre et assimiler les gestes.

En apprenant avec un professeur

Même si vous n’envisagez pas de participer à une compétition de haut niveau au golf, apprenez avec un professeur. Il n’est pas évident d’apprendre le golf à l’aide d’un tutoriel ou d’apprendre sur le tas. Prendre des cours de golf à Bordeaux est plus avantageux. Aussi, un professeur a assez d’expérience pour vous transmettre avec précision les règles à respecter, la bonne posture et la bonne technique pour jouer au golf.

En travaillant son putting et son swing

Il est indispensable de travailler les coups importants au golf. De ce fait, il est conseillé de travailler son putting et son swing afin de progresser dans ce sport. Pour ce faire, vous devez adopter la bonne posture, la bonne technique, mais surtout savoir comment utiliser les clubs destinés au putting et au swing. La connaissance des caractéristiques du green est primordiale pour l’exécution de vos coups.

En apprenant à déstresser et à se concentrer

Les sports aident à se détendre et à déstresser, mais vous devez être détendu pour bien jouer au golf. En plus de se concentrer, vous devez rester détendu pour améliorer votre jeu. Ce sont d’ailleurs deux bonnes raisons de jouer au golf. Pendant le parcours, votre capacité de concentration et vos aptitudes à vaincre la panique sont sollicitées. Par ailleurs, vous apprenez la stratégie en jouant au golf.

Une préparation physique

Une randonnée est très physique, ce qui nécessite une excellente préparation physique. La première chose à faire, c’est de déterminer votre objectif : voulez-vous partir pour une longue randonnée de plusieurs semaines ou vous penchez davantage pour des randonnées à la journée ? Peut-être même que vous envisagez un périple de deux ou trois mois ? Si vous êtes déjà un randonneur, il se pourrait que vous souhaitiez juste vous entraîner pour être moins essoufflé en montée raide. En tout cas, votre objectif doit être adapté à votre situation et surtout, il est indispensable que ce soit réalisable pour rester motivé. Ensuite, vous devez vous évaluer honnêtement pour connaître exactement votre condition physique, vos forces et vos faiblesses. Si vous avez des problèmes de santé, commencez par consulter votre médecin avant d’entreprendre une longue randonnée. Pensez aussi aux contraintes que vous avez, si vous ne disposez que de quelques heures par semaine pour vous préparer par exemple. Mais quoi qu’il en soit, le mieux, c’est de vous préparer le plus tôt possible et de cette manière, vous pourrez progresser petit à petit jusqu’au moment où vous partirez en randonnée. Pour ce faire, ce site vous aidera dans la réalisation de votre préparation physique car il propose de bons conseils qui vous seront utiles.
Si vous êtes un randonneur régulier, un à deux mois à l’avance serait suffisant, mais si vous vous préparez pour une première randonnée, commencez votre entraînement 6 mois avant.

Comment se préparer concrètement ?

Vous pouvez vous inspirer de ce que font vos amis ou des randonneurs chevronnés pour vous préparer en vue d’une randonnée. Mais une bonne préparation pour une autre personne ne sera jamais la bonne pour vous parce que chaque entraînement doit tenir compte du passé, du présent, des forces, des faiblesses et des objectifs de chacun. Toutefois, certaines techniques peuvent aider tous ceux qui désirent se mettre à la randonnée, notamment les débutants. Par exemple, marchez environ 10 minutes par jour, autour de chez vous ou dans un parc voisin. Puis, faites de la course à pied 2 fois par semaine pendant 30 à 40 minutes. Une fois que vous avez pris le pli, ajoutez à cette course une séance de 8 montées en courant et pour cela, choisissez un dénivelé de 50 m à peu près. Au fil des semaines, faites un peu plus, en faisant de la nage une fois par semaine. Un peu de méditation et des promenades à pied de quelques heures le week-end seront les bienvenues. Pour ne pas vous démotiver en faisant les mêmes exercices semaine après semaine, quelquefois, remplacez la course à pied par du vélo elliptique ou du rameur. De temps en temps, vous pouvez aussi faire des sorties longues.

Quels sont les bienfaits du football américain ?

Le football américain exige de la cohésion et de la solidarité. C’est un sport qui demande de l’énergie, de la technique, de la tactique et de la stratégie. Dans le football américain, il y a des postes adaptés à tous les gabarits et à toutes les qualités. Ce sport est dit brutal, mais grâce à la richesse stratégique et tactique, on peut avoir plus de motivation et de confiance. Même après un match, les joueurs continuent de travailler en dehors du terrain à l’aide d’un playbook pour apprendre à connaître toutes les stratégies de l’équipe. Le football américain est un sport très rythmé et nécessite la pratique d’un sport complémentaire comme la musculation ou le flag football pour rester dans de bonnes conditions physiques et pour la préparation de la prochaine saison. Un joueur peut se spécialiser dans un rôle et progresser au contrôle et à la concentration pour mieux gérer la technique, la tactique et la précision et surtout la confiance en soi.

Quelles sont les différences entre football américain et rugby ?

Le football américain et le rugby sont tous les deux des sports de contact collectifs. On peut dire que ce sont des sports qui demandent beaucoup d’efforts physiques, mais ils présentent cependant des différences. La première est le nombre de joueurs. La plus grande différence entre foot us et rugby se trouve au niveau de la récupération. Dans le foot américain, un effort d’une dizaine de secondes peut faire gagner trente secondes de répit. Un joueur de foot us doit avoir la capacité de faire une trentaine de sprints très intensifs pour faire craquer la défense adverse. Pour le rugby, l’effectif sur le terrain est constitué de 15 joueurs, plus les remplaçants, on peut dire que le rugby est le sport des pays anglophones, mais le rugby est un sport en réalité un sport international.